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Le Crédit Suisse décide d’opter plutôt aux actions qu’aux obligations

Tenant compte de ses difficultés, le Crédit Suisse prône les actions aux obligations. En effet, il espère pouvoir profiter de la croissance éventuelle des bénéfices dans les entreprises où il souhaite acheter des actions. Il met en relief alors son optimisme dans cette stratégie et débourse des fonds dans des actions partout dans le monde. Elle mise donc des dépenses sur des entreprises de tout genre de secteur.

Les actions et les obligations

Une action est une sorte de titre attribué à quelqu’un qui lui offre plein pouvoir sur une partie des patrimoines d’une entreprise. Elle permet donc à son détenteur de participer dans l’activité et de la gestion de cette société où il est actionnaire ainsi que de tirer profit d’une partie des dividendes de cette dernière. Tandis que l’obligation est une sorte de prêt à long terme lancé par une entreprise. En effet, elle représente une dette de son émetteur vis-à-vis de celui à qui elle est adressée dont cette dernière va récupérer au fil du temps à travers les coupons. L’obligation est toutefois sujette d’intérêt fixe et d’échéance convenus à l’avance avec l’enseigne destinataire.

Le Crédit Suisse

Le Crédit Suisse est un groupe bancaire fondé en 1856 à Zurich. À son début, il a été appelé La Schweizerische Kreditanstalt (SKA) qui a été remplacée au fil du temps sa dénomination actuelle. Il est composé de diverses formes d’instituts, dont des entreprises de différentes tailles, des organismes liés au gouvernement, ou encore juste des particuliers. Le Crédit Suisse a pu gagner progressivement de l’envergure jusqu’à s’être promu de première banque commerciale du pays. Il a honoré sa participation dans la création d’autres banques dont la Banque d’entreprises électrique et celles orientées vers les chemins de fer. Le groupe a récemment connu des bas liés à la complicité dans des affaires pas très nettes au sujet d’évasion fiscale dont il a dû payer des amendes l’an 2004. Même pour cette année 2017, il a encore dû débourser de l’argent pour des amendes, mais cette fois dans le cadre de la crise des subprimes.